C’est l’histoire d’un feuilleton sans fin pour l’éditeur français. Une fois de plus, de nouvelles preuves sapent le fonctionnement de l’un des grands studios d’Ubisoft.
Il s’agit de Nadeo, le site français à l’origine de la licence Trackmania.
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L’opération de “reprise” prendra un certain temps
On doit cette enquête au site Numerama qui, avec le journal Libération, avait déjà remarqué les révélations de harcèlement dans plusieurs studios Ubisoft cet été. Depuis, la multinationale, dirigée par Yves Guillemot, a annoncé qu’elle allait prendre des mesures pour éviter que de tels comportements ne perdurent au sein de ses équipes.
Juste avant la diffusion d’Ubisoft Forward jeudi, le P.-D.G. le groupe s’est excusé via une vidéo sur les réseaux sociaux. Il a déclaré qu’il “n’avait pas protégé les victimes” et que “les mesures nécessaires pour libérer ou punir” l’accusé avaient été prises. Malheureusement, une enquête plus approfondie met en lumière le mal qui semble ronger Ubisoft.